Jour 4 –  Par le baptême, nous nous identifions à Jésus-Christ dans Sa mort et Sa résurrection. Et il n’y a pas de vie de résurrection sans qu’il n'y ait de mort ! 

VERSETS RÉFÉRENCE :

Jean 3:30 Louis Segond
30 Il faut qu'il croisse, et que je diminue.

Galates 2:20 Louis Segond
20 J'ai été crucifié avec Christ; et si je vis, ce n'est plus moi qui vis, c'est Christ qui vit en moi; si je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m'a aimé et qui s'est livré lui-même pour moi.

2 Corinthiens 5:17-21 Louis Segond
17 Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont devenues nouvelles.
18 Et tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ, et qui nous a donné le ministère de la réconciliation.
19 Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation.
20 Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous; nous vous en supplions au nom de Christ: Soyez réconciliés avec Dieu!
21 Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu.

RÉFLEXIONS :

Lis Jean 3 : 30, Galates 2 :20 et 2 Corinthiens 5 :17-21 et prends un moment  pour répondre aux questions suivantes :

Quelle différence y a-t-il entre les paroles de Jean-Baptiste dans Jean 3 : 30 et celles de Paul dans Galates 2 :20 ? Et quelle différence cela produit-il dans la vie quotidienne ?

Dans le passage de 2 Corinthiens 5 :17-21, quels points importants relèves-tu et quels liens cela a-t-il avec le baptême ?

CONTENU :

Selon Romains 6, le baptême est le symbole d’un ensevelissement (l’immersion) et d’une résurrection (lorsque l’on ressort de l’eau). Cependant il s’agit bien plus que d’un simple symbole. C’est une participation, une communion à ce que Jésus-Christ a enduré pour nous à notre place par Sa mort sur la croix et par Sa résurrection. Lorsque Jésus s’est fait baptiser, Il l’a fait pour s’identifier à nous en tant que pécheurs, et c’est à partir de ce moment-là qu’Il est entré dans Son ministère terrestre. Lorsque nous nous faisons baptiser, nous nous identifions à ce que Christ a fait pour nous et, bien que ce soit un acte unique dans notre vie, nous devons continuer à aligner quotidiennement nos vies avec la mort et la résurrection de Jésus.

Jésus a déclaré qu’Il est la résurrection et la vie (cf. Jean 11 :25) et non pas la vie et la résurrection ! En fait, l’on ne peut pas vivre une vie de résurrection sans être au préalable passé par la mort. Comme Martin Luther a dit un jour : « Mon vieil homme est mort, mais bougre qu’il sait bien nager... ». Ce qu'il voulait dire, c'est que notre vieille nature est morte lors de notre baptême, cependant elle essaye de revenir et, si nous ne sommes pas vigilants, elle y arrive bien. C’est pourquoi nous devons rester proches de Jésus en nous identifiant à Son œuvre afin de vivre la plénitude de notre nouvelle nature. Une fois encore, c’est une décision que l’on a besoin de prendre quotidiennement, voire plusieurs fois par jour.

Toutes les fois où nous nous approchons, par la foi, de la croix, le Saint- Esprit nous aide à entrer dans un échange entre nos péchés et l’innocence de Jésus, entre nos maladies et Sa guérison, entre les malédictions qui se sont attachées à notre vie et Sa bénédiction, etc. Christ a été fait péché pour nous afin que nous devenions en Lui justice de Dieu (cf. 2 Corinthiens 5 :21) et cela devient une réalité par l’union avec Lui dans Sa mort et Sa résurrection. Être justice de Dieu implique non seulement que nos péchés ont été pardonnés, mais plus encore, que nous sommes morts au péché. Ce dernier ne domine plus sur nous et ce n’est plus lui qui détermine notre manière de vivre, mais c’est la vie de Christ en nous.

Parce que nous restons dans un corps de chair et que notre âme n'est pas encore toujours alignée avec notre esprit, il va encore nous arriver de pécher, bien que nous ne soyons plus obligés de le faire ! Paul le dit très clairement dans Romains 6 :11-12, lorsqu’il nous exhorte à nous considérer comme morts au péché et à ne plus obéir à ses convoitises. C’est notre responsabilité de savoir à qui et à quoi nous allons obéir, c’est à nous de décider si nous voulons vivre pour Christ ou pour notre péché... Ne cherchons pas des excuses, mais apprenons à faire les bons choix.

L’identification à la vie nouvelle, à cette vie en abondance promise (cf. Jean 10 :10), correspond à la vie de résurrection que le Saint-Esprit nous permet de vivre. Notre corps est le temple du Saint-Esprit (cf. 1 Corinthiens 6 :19) et ce dernier vient confirmer notre obéissance physique et publique en venant habiter en nous et en nous faisant entrer dans cette vie intérieure de résurrection dès notre baptême. Nous ne nous appartenons plus. Ainsi, nous sommes appelés à vivre une vie à la mesure de Sa vie. Cette vie de résurrection est directement liée avec le fait de marcher par l’Esprit (cf. Romains 8 :13). Nous pouvons nous laisser conduire par Sa présence en nous laissant habiter et diriger par le Saint-Esprit. C’est à nous de rappeler à notre chair qu’elle a été crucifiée avec Christ et qu’elle est ressuscitée avec Lui. Prends le temps de prier par rapport à cela.

MA DÉCISION:

Ce que j’ai compris pour ma vie personnelle :

Ce que je décide pour ma vie par rapport à ce que je viens d’apprendre :

Ce que tu décides aujourd’hui détermine qui et ce que tu seras demain !

Ces méditations sont tirées du livre « un disciple en marche », un véritable manuel de disciples. Qui plus est, c’est un outil pratique pour faire des disciples de manière simple et pratique. La multiplication de disciple commence par toi et c’est pour toi… Pour en savoir plus tu peux trouver le livre sur www.vievictorieuse.org

Jour 6 – Oser être spécifique dans nos prières

VERSETS RÉFÉRENCE :

Luc 18:35-43 Louis Segond

35 Comme Jésus approchait de Jéricho, un aveugle était assis au bord du chemin, et mendiait.
36 Entendant la foule passer, il demanda ce que c'était.
37 On lui dit: C'est Jésus de Nazareth qui passe.
38 Et il cria: Jésus, Fils de David, aie pitié de moi!
39 Ceux qui marchaient devant le reprenaient, pour le faire taire; mais il criait beaucoup plus fort: Fils de David, aie pitié de moi!
40 Jésus, s'étant arrêté, ordonna qu'on le lui amène; et, quand il se fut approché,
41 il lui demanda: Que veux-tu que je te fasse? Il répondit: Seigneur, que je recouvre la vue.
42 Et Jésus lui dit: Recouvre la vue; ta foi t'a sauvé.
43 A l'instant il recouvra la vue, et suivit Jésus, en glorifiant Dieu. Tout le peuple, voyant cela, loua Dieu.

RÉFLEXIONS :

Lis Luc 18 :35-43 et prends un moment pour répondre aux questions suivantes :

Pourquoi Jésus demande-t-il à cet aveugle ce qu’il attend de Lui ?

Lorsque je prie, est-ce que je suis spécifique ? Si oui, quel est le résultat et si non qu’est-ce qui m’empêche de l’être ?

CONTENU :

La prière est un privilège unique, c’est notre moyen d'être en relation avec Dieu. Lorsque nous prions, c’est avant toute chose pour passer du temps avec Dieu, pour vivre un moment de cœur à cœur avec Lui. Et c'est parce que la prière est un élément relationnel avec une personne, notre Dieu, que nous pouvons être spécifique dans notre prière. Cela commence par le fait de savoir à qui nous nous adressons : lorsque Jésus nous enseigne à prier, ce n’est pas vague. Il nous demande de nous adresser à une personne unique, notre Père qui se trouve dans un lieu particulier, les cieux (cf. Matthieu 6 :9). Prier de manière vague n’est qu’une pratique religieuse inutile, car cela signifie que l’on ne connaît pas de manière intime la personne à laquelle on s’adresse et que notre prière n’a rien de relationnelle. Notre Dieu s’étant révélé à nous, nous pouvons être spécifiques dans notre manière de nous adresser à Lui en l’appelant notre Père.

Il en est de même dans tous les domaines de notre vie de prière... Lorsque nous célébrons Dieu pour qui Il est, nous sommes appelés à déclarer clairement Son autorité, Ses titres, Ses noms, car il y a une puissance dans cela. De la même manière, lorsque nous entrons dans la repentance, il ne s’agit pas de simplement demander pardon pour tous nos péchés en globalité, mais il s'agit d'être spécifiques. Repentons-nous pour ce que le Saint-Esprit nous révèle, non pour nous rappeler nos fautes et nous accabler avec nos souvenirs, mais pour nommer ce à quoi nous renonçons et ce dont nous décidons de nous séparer définitivement. Il en est de même lorsque nous demandons des choses à Dieu : osons être précis et spécifiques. Souvent nous ne recevons pas par manque de précision et nous prions vaguement en espérant que Dieu nous donne ce dont nous avons besoin, sans Lui dire ce que nous désirons. Il est évident que le Seigneur sait ce qui est dans nos cœurs, mais Il aime l’entendre de nos bouches.

C’est ce que Jésus a fait par exemple avec cet aveugle (cf. Luc 18 :35-43) : en effet, s’il semblait évident que le plus important était qu’il retrouve la vue, Jésus lui a néanmoins demandé ce qu’il souhaitait. Le fait d’être spécifique nous permet tout d’abord de savoir mettre notre foi en action. Car la foi est l’assurance des choses qu’on espère, la démonstration de celles qu’on ne voit pas (cf. Hébreux 11 :1). Être spécifique lorsque nous demandons quelque chose à Dieu, c’est savoir voir ce que Dieu va nous donner afin de nous accorder avec Lui et de le verbaliser dans notre prière. Ce qui nous permet tout d’abord de rester ciblé sur ce que Dieu nous a promis et va nous donner, mais également de ne pas changer de sujet de prières de manière régulière. Par exemple ne pas être spécifique va nous conduire à prier comme des girouettes en fonction de ce que nous ressentons et voyons. Dieu n’exauce pas le doute, mais Il répond toujours à la foi et prier spécifiquement est un acte de foi.

Parfois une des raisons qui nous nous pousse à prier de manière vague, c’est la crainte d’être déçus : nous ne voulons pas prendre le risque de ne pas voir s’accomplir les choses que nous avons demandées. Cependant, cela veut également dire que nous ne saurons jamais si Dieu a exaucé nos prières... Car nous ne pourrons pas mesurer cela. Dès lors, nous nous privons d'être encouragés en voyant la puissance de Dieu se manifester, et nous ne pouvons pas rendre à Dieu la gloire qui Lui revient. Enfin, notre foi ne peut alors pas être affermie, car cette dernière se développe comme un muscle : à mesure que nous l’exerçons, nous voyons Dieu agir et nous acquérons ainsi une foi pour des choses plus grandes. Ne pas prier spécifiquement, c’est s’assurer de stagner dans une vie chrétienne diminuée, médiocre. Un disciple prie de manière spécifique à la mesure de la révélation qu'il reçoit de qui est Dieu.

Prier de manière spécifique nécessite que nous sachions investir du temps pour chercher la présence de Dieu, pour apprendre à écouter Sa voix, reconnaître Sa volonté afin de tout simplement pouvoir nous accorder avec Lui... Prier spécifiquement n’est pas demander n’importe quoi à Dieu, c’est décider de faire du ciel notre référence – « Que Ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel » (cf. Matthieu 6 :10) – et c'est prier pour que ce qui nous est dévoilé dans les cieux devienne une réalité sur cette terre, dans notre quotidien et dans le monde dans lequel nous vivons... J’aimerais t'inviter à revisiter ta vie de prière et à t’assurer de prier de manière spécifique.

MA DÉCISION:

➤  Ce que j’ai compris pour ma vie personnelle :

Ce que je décide pour ma vie par rapport à ce que je viens d’apprendre :

Ce que tu décides aujourd’hui détermine qui et ce que tu seras demain !

Ces méditations sont tirées du livre « un disciple en marche », un véritable manuel de disciples. Qui plus est, c’est un outil pratique pour faire des disciples de manière simple et pratique. La multiplication de disciple commence par toi et c’est pour toi… Pour en savoir plus tu peux trouver le livre sur www.vievictorieuse.org

Jour 6 – La sainteté une marche de tous les jours avec le Seigneur

La sainteté ne s'atteint pas en deux jours,
c’est une marche de tous les jours avec le Seigneur, un combat contre notre propre nature

VERSETS RÉFÉRENCE :

Galates 2:20 Louis Segond

20 J'ai été crucifié avec Christ; et si je vis, ce n'est plus moi qui vis, c'est Christ qui vit en moi; si je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m'a aimé et qui s'est livré lui-même pour moi.

RÉFLEXIONS :

Lis Galates 2 :20 et prends un moment pour répondre aux questions suivantes :

Comment puis-je vivre dans cette dimension où je vais vivre la vérité de ce verset ?

➤  Essaye de trouver une question que tu pourrais te poser pour t’aider à marcher dans cette vie de mise à part.

CONTENU :

Nous aspirons souvent à des solutions toutes prêtes et rapides, une sorte de « fast-food » spirituel qui permette à nos vies d’être transformées et améliorées rapidement et sans réel effort... Cependant, les choses ne fonctionnent pas ainsi dans nos vies chrétiennes. Paul compare la marche avec Christ à une course (cf. Philippiens 3 :14), et c’est une course dont nous ne franchirons la ligne d’arrivée que lorsque nous quitterons ce corps mortel alors que Jésus viendra nous chercher pour entrer dans la vie éternelle avec Lui. Or une course implique nécessairement une notion de discipline, car on ne peut espérer passer la ligne d’arrivée victorieux sans discipline. C’est un mot qui, généralement, n’est pas très apprécié et qui pourtant est directement lié à la vie chrétienne, car on ne peut être disciple sans discipline. En effet, pour vivre dans cette dimension de sainteté, de mise à part pour servir Dieu, nous devons persévérer jour après jour...

Ainsi donc, se mettre à part est directement lié à la vie de disciple, ce qui implique de tout faire pour devenir semblable à notre Seigneur et notre Maître. Se mettre à part, c’est se laisser transformer afin de ressembler à Celui qui nous envoie, car avant d’agir et de servir, nous sommes... Cela est important car notre service est fondé sur notre identité et la sainteté ne concerne pas nos actions mais notre cœur, notre identité même. Car vouloir changer nos actions sans en changer la racine va engendrer non seulement de la frustration, mais va également permettre aux choses anciennes de revenir. Ainsi la sainteté est une transformation profonde de nos vies afin de nous rendre meilleurs, et que nous devenions toujours plus semblables à Christ.

Le meilleur moyen de ressembler à quelqu’un, c’est d’être proche de la personne, à tel point qu’elle va commencer à déteindre sur nous. Nous allons adopter ses attitudes, son langage, sa manière de voir les choses jusqu’à sa personnalité même. La sainteté consiste à vivre avec Jésus d’une manière si intime que les gens, en nous voyant, vont s'exclamer : « Cette personne ressemble à Jésus ! ». Or le seul moyen d'y parvenir est de mourir à soi afin de vivre par et pour Lui. Trop souvent, en tant que chrétiens nous avons tendance à vouloir vivre en adoptant les paroles de Jean-Baptiste lorsqu’il parlait de Jésus : « Il faut qu’il croisse et que je diminue » (cf. Jean 3 :30). Cependant ces paroles, bien qu’elles soient bibliques, ne sont pas la volonté de Dieu pour nous aujourd’hui, elles appartiennent encore à l'ancienne alliance et Dieu a mieux pour nous. Car Jean-Baptiste, bien qu’il soit dans le Nouveau Testament, demeure le dernier prophète de l’Ancien Testament (cf. Luc 7 :28). Si nous nous appliquons à vouloir laisser Christ grandir en nous afin que nous diminuions, le risque est que dès que les défis et les épreuves vont arriver, notre nature humaine va grandir à nouveau et Christ diminuer... Ce que Dieu a prévu pour nous, c’est la mort... La mort à nous-mêmes afin que nous vivions pour Christ et qu’Il vive en nous. Paul en parle à de nombreuses reprises dans ses épîtres et particulièrement dans Galates 2 :20. Il ne s’agit pas bien sûr d’une mort physique, mais de mourir à notre nature humaine pour que la nature de Christ puisse pleinement vivre en nous. La marche dans la sainteté c’est cela : mourir à nos passions, à nos désirs, à nos convoitises, à nos projets, à notre volonté, à notre... Que tout ce qui est « moi », « je » et « mon » meure afin que Christ, Sa volonté, Ses désirs, Ses projets, ce qui Le passionne deviennent ce qui habite et motive nos vies. Ainsi le combat de la sainteté n’est pas contre des choses extérieures, ni même contre le diable. C’est contre nous-mêmes, contre notre propre nature qui s’oppose à Christ car elle est infectée par le péché.

Il n’y a pas de recettes pour vivre cela, cependant la Parole de Dieu est puissante et agissante et ce verset de Galates 2 :20 est certainement une clé qui nous est donnée afin de marcher dans la victoire. Pour Paul c’est une déclaration, un choix de vie qu’il proclame en nous exhortant à faire de même. J’aimerais t'encourager à prier ce verset tous les jours en prenant autorité sur ta chair afin qu’elle s’aligne toujours plus sur la volonté et les projets de Dieu...

MA DÉCISION:

Ce que j’ai compris pour ma vie personnelle :

Ce que je décide pour ma vie par rapport à ce que je viens d’apprendre :

Ce que tu décides aujourd’hui détermine qui et ce que tu seras demain !

Ces méditations sont tirées du livre « un disciple en marche », un véritable manuel de disciples. Qui plus est, c’est un outil pratique pour faire des disciples de manière simple et pratique. La multiplication de disciple commence par toi et c’est pour toi… Pour en savoir plus tu peux trouver le livre sur www.vievictorieuse.org

Vie Victorieuse a pour objectif de publier des livres et des articles qui encouragent les disciples de Christ à vivre leur vie à la mesure de ce que Dieu a prévu pour eux, afin qu’ils soient de ceux qui écrivent l’Histoire et ne la subisse pas. Le but est de t’aider, toi et tes amis à grandir en Christ, à former des disciples et implanter des églises.
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